Gabon : les écoles supérieures privées risquent de fermer.

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Libreville, le 30 Novembre 2025 par la Rédaction

Au Gabon, plusieurs établissements privés d’enseignement supérieur sont en grande difficulté. Depuis presque trois ans, l’État ne paie plus les dettes qu’il doit à ces écoles. Cette situation crée une crise grave qui menace leur fonctionnement.

Ces écoles accueillent de nombreux étudiants.

Elles ont longtemps permis aux jeunes de suivre des études au pays, sans être obligés de partir en Afrique ou en Europe. Elles ont aussi aidé à élargir l’offre de formation dans le pays. Mais aujourd’hui, leur avenir est menacé.

Une dette qui bloque tout.

la dette de l’État devient trop lourde pour les établissements privés. L’argent qui devait être versé permettait de payer les enseignants et d’assurer les dépenses de base. Sans ces paiements, certaines écoles n’arrivent plus à rémunérer leur personnel ni à couvrir leurs charges. Un responsable explique :

« Nous sommes arrivés à un point critique. Sans paiement de la dette, plusieurs écoles vont fermer. »

Les promoteurs rappellent que les écoles privées aident l’État à former les jeunes, surtout lorsque les structures publiques n’ont pas assez de places. Les écoles demandent un soutien, pour sortir de cette crise, les responsables demandent au gouvernement de mettre en place un plan de soutien durable. Ils proposent : le paiement rapide des dettes,plus de discussions entre l’État et les écoles, un partenariat clair pour l’avenir.

Selon eux, cela permettrait aux établissements de continuer leur travail dans de bonnes conditions.

Cette crise ne touche pas seulement les promoteurs. Elle concerne aussi les milliers d’étudiants inscrits dans ces écoles. Si les établissements ferment, beaucoup de jeunes risquent de se retrouver sans solution pour continuer leurs études.

Un promoteur insiste « La formation est essentielle pour le développement du pays. Nous voulons simplement pouvoir continuer notre mission. »

La situation montre l’importance d’un dialogue sérieux entre le gouvernement et les écoles privées. Tous espèrent une solution rapide pour protéger l’enseignement supérieur et garantir un avenir stable aux étudiants gabonais.

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