Max EYI, celui que l’on surnomme « le candidat des pauvres »

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Libreville, 2ᵉ arrondissement – À l’heure où la campagne pour le second tour des élections législatives bat son plein, un nom s’impose dans le paysage politique du 2ᵉ arrondissement : Max EYI ASSOUMOU. Natif du quartier, enraciné dans les réalités sociales de sa circonscription, il s’est peu à peu imposé comme une figure proche du peuple, au point d’être surnommé par certains habitants « le candidat des pauvres ».Depuis plusieurs semaines, sa présence sur le terrain ne passe pas inaperçue. Partout, Max EYI multiplie les visites de proximité, les échanges directs avec les populations et les gestes de solidarité envers les plus démunis. Dans les marchés, les ruelles ou les places publiques, son discours simple, teinté d’humilité et de réalisme, trouve un écho particulier.

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« Il parle notre langue et comprend nos difficultés », confie un commerçant du quartier Nkembo.
« C’est l’un des rares candidats qu’on voit marcher avec nous, sans protocole », renchérit une mère de famille rencontrée à cocotiers.

Cette proximité, devenue sa marque de fabrique, semble aujourd’hui porter ses fruits. Plusieurs observateurs locaux notent une adhésion croissante autour de sa candidature. À l’opposé, son adversaire, encore discret dans sa stratégie, n’a pas encore déployé tout son arsenal politique, laissant planer le suspense à la veille du scrutin.

Mais au-delà de la compétition électorale, la candidature de Max EYI ASSOUMOU cristallise une aspiration plus profonde : celle d’un renouveau politique porté par les populations elles-mêmes. Beaucoup voient en lui un symbole de rupture avec les pratiques anciennes et un espoir pour les jeunes et les familles modestes de Libreville.

Max, c’est notre frère, il connaît nos réalités. On vote pour lui parce qu’on veut quelqu’un qui nous ressemble », résume un jeune militant rencontré lors d’un porte-à-porte.Alors que les électeurs du 2ᵉ arrondissement sont appelés aux urnes ce samedi pour départager les deux finalistes, le climat est à la fois serein et chargé d’attentes. Si rien n’est encore joué, une chose est certaine : le nom de Max EYI ASSOUMOU a déjà marqué les esprits.Qu’il remporte ou non cette bataille électorale, le candidat du peuple a réussi à s’imposer comme une voix incontournable du quartier, celle d’un homme qui a choisi de marcher aux côtés des siens.

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